Bref exposé de la Doctrine Gnostique

Paris, Bibliothèque de la Recherche de la Vérité, Librairie Fernand Drubay, 1913, plaquette in-12, agrafée, 32 pp. et un frontispice. 

Manque à Dorbon. Esclarmonde, collaboratrice de La Gnose, créa également en 1913, avec Olga de Brezobrazow, un « Groupe féministe d’Etudes Esotériques » placé sous la haute protection de Fabre des Essarts, Papus et Barlet. (cf. André et Beaufils « Papus. Biographie…» (1995) 

« C’est [en] 1909 que Guénon voit son premier article publié : « Le Démiurge » dans La Gnose. Inscrit à l’Ecole des Hautes Etudes au cours de Mgr Lucien Léon Lacroix sur « le Catholicisme durant la Révolution » ; il y retrouve Synésius (Fabre des Essarts), qui y accompagne sa fille Mathilde, et Marie Chauvel de Chauvigny-Esclarmonde (1848-1927) [soit] Sophia de l’Eglise Gnostique. » (cf. Marie-France James « Esotérisme et christianisme autour de René Guénon… », 1981).