Discours fait en une célèbre assemblée, par le chevalier Digby

Discours fait en une célèbre assemblée, par le chevalier Digby, chancelier de la Reine de la Grande Bretagne, etc. Touchant la guérison des playes par la Poudre de Sympathie. Relié à la suite : Dissertation touchant la poudre de sympathie, traduite du latin du sieur Papin, Docteur en médecine de la ville de Blois. Par le Sr Rault

A Paris, chez Charles Osmont, 1681, in-12, plein veau de l’époque, dos à nerfs, 250 pp. Coins émoussés, un manque de cuir en queue, travail de ver marginal sur la moitié du volume, atteignant 4 lettres p. 121 et 123.

L’auteur qui s’intéresse ici à la poudre de sympathie fit l’objet d’une intéressante étude par Amadou : « … la vie mouvementée studieuse du Chevalier Digby qui partagea les rêves des alchimistes, rechercha pour Venetia le secret de la longévité… Telle est la vie de ce philosophe, ami de Descartes, que J.F. Helvetius ne dédaigna point de réfuter ». Cependant, une expérience très particulière que connu Helvétius l’amena évidemment à modifier son jugement et son approche de l’alchimie… Contient la dissertation sur le même sujet en deuxième partie. Seconde édition sous cette forme. Dujols n° 146, XXI 1913. Exemplaire de Gilbert Tappa. Son ex-libris contrecollé à l’entrée du volume.