La Kabbale

EXEMPLAIRE D’ADOLPHE FRANCK AVEC ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE DE PAPUS

La Kabbale. Tradition secrète de l’occident. Résumé méthodique. Ouvrage précédé d’une lettre d’Ad. Franck, de l’institut et orné de 20 figures et de 2 planches hors texte

Paris, Georges Carré, 1892, in-8, demi-percaline bleue de l’époque, dos lisse orné, couvertures conservées, VIII, 188 pp. 

Rare édition originale. Dujols n° 344, cat. VI, 1909-1910 et n° 492, cat. II, 1909 pour la seconde édition : « Un grand nombre d'ouvrages ont été écrits sur cette matière si diffusée et pourtant si abstraite, mais aucun d'eux n'avait été fait à un point de vue aussi clair et aussi synthétique que celui de Papus. C'est un manuel véritablement pratique dans lequel toutes les branches de la Kabbale sont analysées. 

Les trois Mondes, les Séphires, les Génies, les Clavicules, tous ces sujets y sont traités avec l'autorité que l'on connaît à l'auteur. On y trouve aussi une traduction du Sepher letzirah ou Livre de la Création. L'ouvrage se termine par une précieuse bibliographie qui constitues à elle seule un document de premier ordre. » 

Exemplaire exceptionnel, pour ne pas dire historique, comportant un envoi autographe signé de Papus : « Au Professeur Adolphe Franck, Hommage et profonde reconnaissance de l’auteur. » Papus, qui dédie également notre étude, à travers une longue préface au célèbre philosophe, spécialiste de cette énigmatique matière qu’est la kabbale.

A un âge avancé, Adolphe Franck se rapprocha en effet des cercles occultistes martinistes dirigés par Papus. Il préfaça le Traité méthodique de science occulte de Papus l’année précédente, en 1891 et exprime ici, dans sa lettre-préface, son estime pour notre volume : « … à mon avis, la publication la plus curieuse, la plus instructive, la plus savante qui ait paru jusqu'à ce jour sur cet obscur sujet. Avec une rare modestie, vous me demandez mon opinion sur le travail bibliographique par lequel se termine votre étude. […] un travail bibliographique aussi complet que le vôtre, je ne l’ai rencontré nulle part. »