
Moscou, Editions en langues étrangères, 1955, broché, in-8, 104 pp.
Traduit du russe par E. Bronina. Le biochimiste soviétique propose dès 1924 l’hypothèse d’une chimie prébiotique, capable de synthétiser la matière prochaine du vivant (acides aminés, sucres, etc…) à partir des éléments de l’atmosphère terrestre. Cette théorie marque une étape importante dans la compréhension de l’origine de la vie, et débouchera sur la célèbre théorie de la « soupe primitive ».
Fiche technique